Description
Marcel Mariën conte ses innombrables souvenirs dans une autobiographie fort bien troussée. On y croise des suédois marins, des chinois communistes, des belges surréalistes (Nougé, Scutenaire, Chavez, Magritte évidemment…) et bien entendu de nombreuses dames plus ou moins vêtues. Le radeau de la mémoire, éditions Le pré aux clercs, 1983, l’exemplaire du bouquin a souffert mais vaut bien ses 10 euros.
Dans l’extrait ci-contre, Mariën conte comment avant de devenir “surréalistes”, lui et Magritte, pendant les dures années de guerre (et encore au-delà), surent surtout se montrer “hyper-réalistes”.
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